Hammett
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31032012
Dans "Les brèves du PIF", votre nouveau rendez-vous hebdomadaire sur BFN. Je vous présenterai chaque semaine l’évolution des parts de marché de nos opérateurs Français. Alors que l'ensemble des Fai's ont publié leurs résultats pour l'année 2011, il convient de faire le point sur les positions respectives des uns et des autres dans le haut et très haut débit.
Commençons par un récapitulatif des parts de marché pour l’année 2011. Cela confirme, les tendances observées pour les parts de conquête sur l'ensemble de l'année 2011.
Orange remonte à partir du troisième trimestre. La tendance de ces bons chiffres devra être confirmée. Ne serait-ce que pour retrouver les chiffres de fin 2010. Ce sera déjà pas mal. Le fait que la tendance soit positive est à noter.
SFR s’enfonce et le début 2012 risque d’être encore assez terne. L’accent commercial va certainement porter certainement sur le mobile, au détriment de l’ADSL ?
Free a retrouvé des couleurs avec le lancement de sa V6, Free Mobile va t-il lui donner un coup de fouet ? Il lui faudrait déjà garder les Aliciens.
Bouygues Telecom continue à être sur un nuage. A voir si l’arrivée de Free Mobile ne va pas lui porter préjudice. En tout cas le fait de s’être lancé dans l’ADSL et surtout d’avoir lancé le 4P, lui a permis de devenir un FAI qui compte et de fidéliser ses clients mobiles. Objectif largement atteint.
Numéricâble et Darty vivotent depuis des années. A eux deux ils vont finir par peser moins que Bouygues Télécom.
Bref 2012 devrait être passionnant avec l’impact de l’arrivée de Free Mobile et le lancement d’une offre ADSL pour Virgin Mobile et La Poste Mobile. Le quadruple Play et les économies qu’il engendre va devenir le must du marché.
Méthodologie : Les chiffres sont tirés des communiqués des opérateurs. Les chiffres de Darty et de Numéricâble sont arrêtés à octobre et septembre. Pour Numéricâble, il manque les résultats de Complétel.
A noter que Free, Bouygues Télécom et SFR ne détaillent pas entre clients ADSL et clients Fibre Optique... De la transparence ne serait pas de trop !
Sources : Orange, SFR, Iliad, Bouygues Télécom, Darty, Numéricâble.
Commençons par un récapitulatif des parts de marché pour l’année 2011. Cela confirme, les tendances observées pour les parts de conquête sur l'ensemble de l'année 2011.
Orange remonte à partir du troisième trimestre. La tendance de ces bons chiffres devra être confirmée. Ne serait-ce que pour retrouver les chiffres de fin 2010. Ce sera déjà pas mal. Le fait que la tendance soit positive est à noter.
SFR s’enfonce et le début 2012 risque d’être encore assez terne. L’accent commercial va certainement porter certainement sur le mobile, au détriment de l’ADSL ?
Free a retrouvé des couleurs avec le lancement de sa V6, Free Mobile va t-il lui donner un coup de fouet ? Il lui faudrait déjà garder les Aliciens.
Bouygues Telecom continue à être sur un nuage. A voir si l’arrivée de Free Mobile ne va pas lui porter préjudice. En tout cas le fait de s’être lancé dans l’ADSL et surtout d’avoir lancé le 4P, lui a permis de devenir un FAI qui compte et de fidéliser ses clients mobiles. Objectif largement atteint.
Numéricâble et Darty vivotent depuis des années. A eux deux ils vont finir par peser moins que Bouygues Télécom.
Bref 2012 devrait être passionnant avec l’impact de l’arrivée de Free Mobile et le lancement d’une offre ADSL pour Virgin Mobile et La Poste Mobile. Le quadruple Play et les économies qu’il engendre va devenir le must du marché.
Méthodologie : Les chiffres sont tirés des communiqués des opérateurs. Les chiffres de Darty et de Numéricâble sont arrêtés à octobre et septembre. Pour Numéricâble, il manque les résultats de Complétel.
A noter que Free, Bouygues Télécom et SFR ne détaillent pas entre clients ADSL et clients Fibre Optique... De la transparence ne serait pas de trop !
Sources : Orange, SFR, Iliad, Bouygues Télécom, Darty, Numéricâble.
Dernière édition par Hammett le Dim 1 Avr 2012 - 9:47, édité 1 fois
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Commentaires
Mer 1 Mai 2013 - 13:50
le secteur est très mal en point et l'avenir n'est pas plus encourageant, mais il est devenu tabou de dire quoi qu'il en soit...
Il va bien falloir admettre les choses plutôt que de jouer de la méthode coué pour ce convaincre que tout ce passe bien avec la cagoule sur la tête à l'ARCEP et même au GVT et reprendre les choses en main, la dérive continue.
Avant on avait des prestataires plutôt satisfait de bosser pour un des opérateurs, il faisait quasi partie intégrante des collaborateurs, aujourd'hui il est à l'indexe et semble être pointé du doigt.
Il va bien falloir admettre les choses plutôt que de jouer de la méthode coué pour ce convaincre que tout ce passe bien avec la cagoule sur la tête à l'ARCEP et même au GVT et reprendre les choses en main, la dérive continue.
Avant on avait des prestataires plutôt satisfait de bosser pour un des opérateurs, il faisait quasi partie intégrante des collaborateurs, aujourd'hui il est à l'indexe et semble être pointé du doigt.
Mer 1 Mai 2013 - 18:20
L'ARCEP joue dans la catégorie bureaucrate : "je suis responsable et je m'en tape..."
Jeu 2 Mai 2013 - 8:22
Suite des aventures de Dailymotion. Orange le répète depuis des mois : afin de donner une stature internationale à Dailymotion, il faut lui associer un partenaire américain. Le but est : " de garder l’esprit « start-up » de Dailymotion, Orange voulant faire rentrer «un ou plusieurs partenaires industriels au capital de Dailymotion. Les candidats naturels sont des groupes étrangers, car la France ne pèse que 15 % de l'audience de Dailymotion." (La Tribune, juin 2012).
Yahoo était un candidat qui était aller un peu loin que d’autres (Microsoft, Netflix), sauf que ce dernier envisageait de prendre au moins 75% du capital, ne laissant à Orange qu’un strapontin, alors que celui-ci veut rester un partenaire influent.
Cette condition avait provoqué le refus de Bercy, qui souhaite garder dans le giron tricolore un des derniers fleurons de l’internet 100% français. Finalement devant le refus des politiques, c’est Yahoo qui jette l’éponge (Le Monde, 01/05).
Logiquement le développement médiatique autour de cette tentative de rachat devrait calmer les velléités de rachats futurs.
Toutefois, il faut rappeler que Dailymotion comptabilisait 112 millions de visiteurs uniques en janvier 2013 soit 10 fois moins que YouTube. A l’heure de l’arrivée prochaine de la tv connectée, la question de son développement reste posé.
D’autre part, alors qu’Orange a vraiment correctement intégré Deezer dans ses offres, il n’a toujours pas trouvé la bonne recette pour Dailymotion. En avril 2011, Orange a acheté 49% de Dailymotion pour 69 millions d’euros et est monté au printemps 2013 à 100% du capital pour 72 millions supplémentaires.
Existe-t-il une solution française ? C’est ce qu’évoque le quotidien La Tribune (30/04) avec un possible intérêt de Vivendi, Lagardère et même de TF1. En fait les grands groupes français présent dans l’industrie des médias et des contenus.
A suivre…
Yahoo était un candidat qui était aller un peu loin que d’autres (Microsoft, Netflix), sauf que ce dernier envisageait de prendre au moins 75% du capital, ne laissant à Orange qu’un strapontin, alors que celui-ci veut rester un partenaire influent.
Cette condition avait provoqué le refus de Bercy, qui souhaite garder dans le giron tricolore un des derniers fleurons de l’internet 100% français. Finalement devant le refus des politiques, c’est Yahoo qui jette l’éponge (Le Monde, 01/05).
Logiquement le développement médiatique autour de cette tentative de rachat devrait calmer les velléités de rachats futurs.
Toutefois, il faut rappeler que Dailymotion comptabilisait 112 millions de visiteurs uniques en janvier 2013 soit 10 fois moins que YouTube. A l’heure de l’arrivée prochaine de la tv connectée, la question de son développement reste posé.
D’autre part, alors qu’Orange a vraiment correctement intégré Deezer dans ses offres, il n’a toujours pas trouvé la bonne recette pour Dailymotion. En avril 2011, Orange a acheté 49% de Dailymotion pour 69 millions d’euros et est monté au printemps 2013 à 100% du capital pour 72 millions supplémentaires.
Existe-t-il une solution française ? C’est ce qu’évoque le quotidien La Tribune (30/04) avec un possible intérêt de Vivendi, Lagardère et même de TF1. En fait les grands groupes français présent dans l’industrie des médias et des contenus.
A suivre…
Ven 3 Mai 2013 - 7:40
Que veut faire Vivendi de sa filiale SFR ? A l’issue de l’assemblée générale des actionnaires de Vivendi, il semble que l’option soit la mise en bourse de l’opérateur télécom.
Par prudence, Vivendi n’a pas donné de date et juste indique que l’objectif était d’abord de redresser SFR.
Cela fait presque un an que Vivendi examine son périmètre d’activités et qu’il souhaite se recentrer sur les contenus et les médias avec Canal+ (tv), Activision (jeux) et Universal (musique) et donc se défaire de ses filiales télécoms : SFR, GVT (Brésil) et Maroc Télécom (Maroc). Sauf qu’en le criant sur les toits, cela ne favorise pas la vente à bon prix. Pour SFR, la danse du ventre avec Numericable n’a rien donné.
Fondamentalement Numericable est endetté et SFR vaut cher, Vivendi l’estime entre 12 et 17 milliards et les candidats ne sont pas si nombreux que cela et se trouve du coté des groupes mondiaux comme Telefonica, Vodafone ou Carlos Slim l’homme le plus riche du monde et propriétaire de l’opérateur mexicain America Movil.
Une mise en bouse pourrait-elle permettre un rapprochement plus simple avec Numericable qui lui aussi envisage une introduction en bourse ?
Par prudence, Vivendi n’a pas donné de date et juste indique que l’objectif était d’abord de redresser SFR.
Cela fait presque un an que Vivendi examine son périmètre d’activités et qu’il souhaite se recentrer sur les contenus et les médias avec Canal+ (tv), Activision (jeux) et Universal (musique) et donc se défaire de ses filiales télécoms : SFR, GVT (Brésil) et Maroc Télécom (Maroc). Sauf qu’en le criant sur les toits, cela ne favorise pas la vente à bon prix. Pour SFR, la danse du ventre avec Numericable n’a rien donné.
Fondamentalement Numericable est endetté et SFR vaut cher, Vivendi l’estime entre 12 et 17 milliards et les candidats ne sont pas si nombreux que cela et se trouve du coté des groupes mondiaux comme Telefonica, Vodafone ou Carlos Slim l’homme le plus riche du monde et propriétaire de l’opérateur mexicain America Movil.
Une mise en bouse pourrait-elle permettre un rapprochement plus simple avec Numericable qui lui aussi envisage une introduction en bourse ?
Ven 3 Mai 2013 - 10:10
celui qui mettra la main sur NCC aura fait la pire affaire et risquera de mettre fortement en danger sa propre entité...
NCC est un tel conglomérat de rachat mais surtout de réseau différent et parfois dans un état très médiocre.
Trop d'actionnaire déjà sur une même table pour arriver à dégager des choix de simplification et d'économie mais qui devront passer par un fort investissement pour remettre e l'ordre.
Bref si un jour quelqu'un reprend cette boite les seuls gagnant seront les actionnaires actuel.
pour info 500.000nvlles SIM sur le T1
NCC est un tel conglomérat de rachat mais surtout de réseau différent et parfois dans un état très médiocre.
Trop d'actionnaire déjà sur une même table pour arriver à dégager des choix de simplification et d'économie mais qui devront passer par un fort investissement pour remettre e l'ordre.
Bref si un jour quelqu'un reprend cette boite les seuls gagnant seront les actionnaires actuel.
pour info 500.000nvlles SIM sur le T1
Ven 3 Mai 2013 - 11:10
On va dire que Numericable a du "potentiel". Mais c'est vrai que malgré le manque de concurrence, NC ne décolle pas.
Un rapprochement entre SFR et NC permettrait d'ouvrir ce réseau, cela ne serait que bénéfique. Le problème, si c'est SFR ce ne sera pas pour développer le réseau, ce sera un assemblage qui mettra du temps avant d'être compétitif. Car le but premier sera aussi de réduire la dette et de garder un bon cours de bourse.
500 000 pour BT ? C'est du net ?
Un rapprochement entre SFR et NC permettrait d'ouvrir ce réseau, cela ne serait que bénéfique. Le problème, si c'est SFR ce ne sera pas pour développer le réseau, ce sera un assemblage qui mettra du temps avant d'être compétitif. Car le but premier sera aussi de réduire la dette et de garder un bon cours de bourse.
500 000 pour BT ? C'est du net ?
Ven 3 Mai 2013 - 12:13
non c'est le marché qui progresse de 500 000 nvlles sim
pardon de ne pas l'avoir précisé
pardon de ne pas l'avoir précisé
Lun 6 Mai 2013 - 7:47
L’ARCEP vient de publier vient de publier son tableau de bord sur la téléphonie mobile pour le premier trimestre 2013. Au delà des chiffres sur la consommation voix et data, cela permet de dégager quelques tendances sur le marché du mobile.
Il faut noter (tableau 1.1) une augmentation de 429 000 clients sur le trimestre. Apres une augmentation de 1,313 000 clients sur le quatrième trimestre 2012 et de 768 000 pour le premier trimestre 2012. Le prépayé est négatif de 925 000, alors qu’il avait perdu 231 000 au T4 2012 et perdu 730 000 au T1 2012. Le parc total augmente de 6,0% sur un an contre 6,7% en glissement annuel au T4 et 6,1% pour le T1 2012.
Au total sur la métropole et sur les marchés professionnels et résidentiels (tableau 2.2), le nombre de numéros mobiles portés est de 1,851 000 sur le trimestre, au lieu de 1,828 000 pour le T4 2012 et de 2,637 000 lors du T1 2012.
Le taux de résiliation (forfaits) est en baisse et retrouve son niveau moyen de 2011. Il est de 5,3% au lieu de 5,7 au T4 2012 et de 7,5 au T1. Par contre, pour ce qui concerne le prépayé, ce taux est de 18,1% au lieu de 17,1% au T4 2012 et 17,4% au T1 2012.
36% des abonnements sont désormais libres d'engagement, contre 33% au T4 2012 et 24% au T1 2012. En douze mois, le nombre de personnes sans engagement est ainsi de 11,8 millions à 20,0 millions. Free Mobile, mais aussi Sosh, B&You et Red sont passés par là.
63,301 000 clients ont souscrit à un service mobile auprès de l’un des quatre opérateurs de réseaux mobiles métropolitains (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange France et SFR), soit une augmentation de 489 000 (0,8%) sur le trimestre au lieu de 1,369 000 (+2,2%) sur le T4 2012 et de 943 000 (1,6%) au T1 2012.
7,703 millions ont souscrit à un service mobile auprès d’un Mvno, soit une hausse 27 000 (0,4%) sur le trimestre, au lieu d’une baise de 121 000 (-1,6%) au T4 2012 et de -47 000 (-0,6%) au T1 2012.
Les Mvno représentent 10,8% du marché total au lieu de 10,9% au T4 2012 et de 11,1% au T1 2012.
Le premier trimestre 2013 est le plus petit trimestre en terme d’activité depuis le lancement de Free Mobile en janvier 2012. Malgré l’augmentation du marché, les tendances se confirment : développement des forfaits sans engagements, Mvno qui souffrent avec le prépayé en perte de vitesse, avec les offres de Free Mobile (0/2€), Bouygues (B&You), Orange (Sosh) et SFR (Red, Joe Mobile) qui captent ce marché.
Il faut noter (tableau 1.1) une augmentation de 429 000 clients sur le trimestre. Apres une augmentation de 1,313 000 clients sur le quatrième trimestre 2012 et de 768 000 pour le premier trimestre 2012. Le prépayé est négatif de 925 000, alors qu’il avait perdu 231 000 au T4 2012 et perdu 730 000 au T1 2012. Le parc total augmente de 6,0% sur un an contre 6,7% en glissement annuel au T4 et 6,1% pour le T1 2012.
Au total sur la métropole et sur les marchés professionnels et résidentiels (tableau 2.2), le nombre de numéros mobiles portés est de 1,851 000 sur le trimestre, au lieu de 1,828 000 pour le T4 2012 et de 2,637 000 lors du T1 2012.
Le taux de résiliation (forfaits) est en baisse et retrouve son niveau moyen de 2011. Il est de 5,3% au lieu de 5,7 au T4 2012 et de 7,5 au T1. Par contre, pour ce qui concerne le prépayé, ce taux est de 18,1% au lieu de 17,1% au T4 2012 et 17,4% au T1 2012.
36% des abonnements sont désormais libres d'engagement, contre 33% au T4 2012 et 24% au T1 2012. En douze mois, le nombre de personnes sans engagement est ainsi de 11,8 millions à 20,0 millions. Free Mobile, mais aussi Sosh, B&You et Red sont passés par là.
63,301 000 clients ont souscrit à un service mobile auprès de l’un des quatre opérateurs de réseaux mobiles métropolitains (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange France et SFR), soit une augmentation de 489 000 (0,8%) sur le trimestre au lieu de 1,369 000 (+2,2%) sur le T4 2012 et de 943 000 (1,6%) au T1 2012.
7,703 millions ont souscrit à un service mobile auprès d’un Mvno, soit une hausse 27 000 (0,4%) sur le trimestre, au lieu d’une baise de 121 000 (-1,6%) au T4 2012 et de -47 000 (-0,6%) au T1 2012.
Les Mvno représentent 10,8% du marché total au lieu de 10,9% au T4 2012 et de 11,1% au T1 2012.
Le premier trimestre 2013 est le plus petit trimestre en terme d’activité depuis le lancement de Free Mobile en janvier 2012. Malgré l’augmentation du marché, les tendances se confirment : développement des forfaits sans engagements, Mvno qui souffrent avec le prépayé en perte de vitesse, avec les offres de Free Mobile (0/2€), Bouygues (B&You), Orange (Sosh) et SFR (Red, Joe Mobile) qui captent ce marché.
Mar 7 Mai 2013 - 8:46
Un point sur quelques droits TV dont les discussions devraient alimenter les gazettes cs prochaines semaines.
foot espagnol
Selon une étude portant sur la saison 2010-2011, le Barca a touché 163 millions d'euros de droits TV, contre 156 au Real, 42 millions pour Valence, 17,8 millions pour Bilbao et 14,8 millions pour Malaga. Pour un total de 650 millions.
Pour le quotidien [url=http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Vers-des-droits-tv-mutualises/364563
]L’Equipe[/url] (18/04), ce régime devrait changer à la fin de l’année, un projet de loi imposant la mutualisation, comme cela se fait en Europe et notamment en France. La situation ne va toutefois pas évoluer dans l'immédiat, même si l'adoption du texte est programmée pour la fin de l'année, car plusieurs contrats entre clubs et diffuseurs courent encore sur les deux ou trois prochaines saisons.
Diamond League
beIN SPORT va diffuser la Diamond League la compétition d’athlétisme composé de 14 meetings. Il y a un an avant la fermeture d’Orange Sport, la compétition était diffusée par Orange Sport et Canal+ (pour le meeting du Stade de France et celui de Monaco).
Roland-Garros
Actuellement, Roland-Garros est diffusé par France Télévisions qui débourse environ 16 millions d’euros par an. La Fédération aimerait récupérer 64 millions d'euros de droits télé sur les trois prochaines années soit environ 21 à 22 millions par an. beIN Sport va-t-il se mettre sur le coup ?
D’autant que les droits TV français du circuit mondial du tennis masculin vont être remis sur le marché pour les prochaines années. Actuellement, c’est Canal+ qui détient les droits jusqu’à fin 2013.
Championnat de Hand
Se profile également le renouvellement des droits pour le championnat de France de hand. Il devrait y avoir concurrence entre Canal+ et Bein Sport. Canal+ paye actuellement 1,2 millions par an, mais Bein Sport appartenant au même propriétaire que le champion de France de Hand va certainement vouloir se mettre sur le marché.
foot espagnol
Selon une étude portant sur la saison 2010-2011, le Barca a touché 163 millions d'euros de droits TV, contre 156 au Real, 42 millions pour Valence, 17,8 millions pour Bilbao et 14,8 millions pour Malaga. Pour un total de 650 millions.
Pour le quotidien [url=http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Vers-des-droits-tv-mutualises/364563
]L’Equipe[/url] (18/04), ce régime devrait changer à la fin de l’année, un projet de loi imposant la mutualisation, comme cela se fait en Europe et notamment en France. La situation ne va toutefois pas évoluer dans l'immédiat, même si l'adoption du texte est programmée pour la fin de l'année, car plusieurs contrats entre clubs et diffuseurs courent encore sur les deux ou trois prochaines saisons.
Diamond League
beIN SPORT va diffuser la Diamond League la compétition d’athlétisme composé de 14 meetings. Il y a un an avant la fermeture d’Orange Sport, la compétition était diffusée par Orange Sport et Canal+ (pour le meeting du Stade de France et celui de Monaco).
Roland-Garros
Actuellement, Roland-Garros est diffusé par France Télévisions qui débourse environ 16 millions d’euros par an. La Fédération aimerait récupérer 64 millions d'euros de droits télé sur les trois prochaines années soit environ 21 à 22 millions par an. beIN Sport va-t-il se mettre sur le coup ?
D’autant que les droits TV français du circuit mondial du tennis masculin vont être remis sur le marché pour les prochaines années. Actuellement, c’est Canal+ qui détient les droits jusqu’à fin 2013.
Championnat de Hand
Se profile également le renouvellement des droits pour le championnat de France de hand. Il devrait y avoir concurrence entre Canal+ et Bein Sport. Canal+ paye actuellement 1,2 millions par an, mais Bein Sport appartenant au même propriétaire que le champion de France de Hand va certainement vouloir se mettre sur le marché.
Mer 8 Mai 2013 - 7:52
Le CNC vient de publier son rapport annuel sur le marché de la vidéo (VOD, Blu-ray, DVD,etc…) et les premiers chiffres pour 2013 laissent apparaître un baisse des ventes sur les deux premiers mois de l’année. Le chiffre d’affaire aurait reculé de 10% sur un an.
Est-ce conjoncturel (crise économique, sortie de plusieurs titres phares il y a un an, qui avaient porté le marché) ? Ou structurel (développement de la TNT et de la VOD gratuite, prix peu attractifs, offre légale souvent anémique) ?
La rapport Lescure permettra-t-il d’apporter des réponses afin que les professionnels de la profession se posent les bonnes questions et réagissent et développent des offres digne de ce nom ?
En attendant, quelques chiffres sur le marché de la VOD. Ou l’on voit qu’Orange et pourquoi pas via Dailymotion pourrait très bien booster le marché.
Source : Le Monde (édition papier) du 7 mai 2013, ZdNet (06/05).
Est-ce conjoncturel (crise économique, sortie de plusieurs titres phares il y a un an, qui avaient porté le marché) ? Ou structurel (développement de la TNT et de la VOD gratuite, prix peu attractifs, offre légale souvent anémique) ?
La rapport Lescure permettra-t-il d’apporter des réponses afin que les professionnels de la profession se posent les bonnes questions et réagissent et développent des offres digne de ce nom ?
En attendant, quelques chiffres sur le marché de la VOD. Ou l’on voit qu’Orange et pourquoi pas via Dailymotion pourrait très bien booster le marché.
Source : Le Monde (édition papier) du 7 mai 2013, ZdNet (06/05).
Jeu 9 Mai 2013 - 9:46
Au niveau des contenus, Orange s’est également positionné sur le livre. Pas comme éditeur, mis comme distributeur de livres numériques. Après l’abandon d’Alapage plusieurs axes sont développés : Read’n Go, Lecteurs, Prix Orange du Livre, MO3T (Modèle Ouvert 3 Tiers). Première partie.
Read’n Go
Offre des livres et de la presse. Sur cette dernière, il y a même une option qui permet de prendre 5 numéros pour 5€.
Qu’en retenir ? Au niveau presse quotidienne, il manque la presse régionale, alors que la presse parisienne y est quasiment dans son ensemble. Le Monde est absent, mais ce quotidien n’est présent sur aucune plateforme numérique. L’offre au niveau des magazines est famélique. La aussi, Hachette a développé son propre système Relay. De plus les nouveaux numéros sont souvent disponibles avec un peu de retard.
Coté livre, l’offre n’est pas très importante non plus . Par contre, un vrai effort est fait sur la BD.
Lecteurs
C’est un réseau social qui parle des livres. Assez intéressant. Il y a aussi la possibilité de télécharger gratuitement des e-books. Cela d’associer la lecture des « classiques » et aussi la découverte de la lecture numérique.
Pour le livre, le succès dépendra aussi du prix et donc d’un taux de TVA réduit sur le livre numérique.
Prix Orange du livre
C’est un prix littéraire décerné par des internautes. Il récompense un ouvrage de littérature numérique. De bon niveau. Le lauréat 2012 est Arthur Dreyfus avec Belle famille. Le prix est décerné depuis 2009. Le président est Erik Orsenna.
C’est ce qui semble le plus aboutit.
Read’n Go
Offre des livres et de la presse. Sur cette dernière, il y a même une option qui permet de prendre 5 numéros pour 5€.
Qu’en retenir ? Au niveau presse quotidienne, il manque la presse régionale, alors que la presse parisienne y est quasiment dans son ensemble. Le Monde est absent, mais ce quotidien n’est présent sur aucune plateforme numérique. L’offre au niveau des magazines est famélique. La aussi, Hachette a développé son propre système Relay. De plus les nouveaux numéros sont souvent disponibles avec un peu de retard.
Coté livre, l’offre n’est pas très importante non plus . Par contre, un vrai effort est fait sur la BD.
Lecteurs
C’est un réseau social qui parle des livres. Assez intéressant. Il y a aussi la possibilité de télécharger gratuitement des e-books. Cela d’associer la lecture des « classiques » et aussi la découverte de la lecture numérique.
Pour le livre, le succès dépendra aussi du prix et donc d’un taux de TVA réduit sur le livre numérique.
Prix Orange du livre
C’est un prix littéraire décerné par des internautes. Il récompense un ouvrage de littérature numérique. De bon niveau. Le lauréat 2012 est Arthur Dreyfus avec Belle famille. Le prix est décerné depuis 2009. Le président est Erik Orsenna.
C’est ce qui semble le plus aboutit.
Ven 10 Mai 2013 - 10:03
Au niveau des contenus, Orange s’est également positionné sur le livre. Pas comme éditeur, mis comme distributeur de livres numériques. Après l’abandon d’Alapage plusieurs axes sont développés : Read’n Go, Lecteurs, Prix Orange du Livre, MO3T. Deuxième partie.
MO3T
Au-delà du barbarisme, c’est le dernier avatar sur lequel travaille Orange. Des informations ont commencé à circuler au cœur de l’été et annoncé par un communiqué de presse par Orange.
Il est question d’un regroupement (France Télécom et SFR, les éditeurs Eden (Gallimard, Flammarion, La Martinière) et Editis, mais également des réseaux de libraires comme la FNAC ou La Procure) afin de créer une cyberlibrairie pour contrer Amazon.
En fait, selon le site Actualitté : "MO3T n'a pas vocation à rivaliser avec Amazon ni Google (…) il faut envisager MO3T comme un immense réservoir dans lequel seront placés des livres numériques achetés par des usagers". Grace au Cloud, il y aurait continuité des usages. Si un service ferme, le livre est toujours disponible.
"MO3T est avant tout un modèle ouvert : son objectif est de permettre à tout lecteur d’acheter un contenu sous n’importe quelle forme, auprès de n’importe quel vendeur (en ligne ou physique), de le lire sur n’importe quel terminal, d’y adosser n’importe quel service et de pouvoir conserver ce contenu dans la durée, dans le respect des droits d’auteur."
Intéressant sur le « papier ». Si cela va au bout, l’offre devrait être la plus complète possible. La mise en service est prévue pour fin 2013.
En conclusion (provisoire)
Pour le livre, le succès dépendra aussi du prix et donc d’un taux de TVA réduit sur le livre numérique et surtout d’une offre abondante et ouverte.
Pour la presse, l’idée d’un forfait est une bonne idée, encore faut-il que le choix soit important et que le kiosque numérique ressemble à un vrai kiosque.
Comme sur la musique avec Deezer et la vidéo avec Dailymotion, Orange est également présent sur le livre. Le but est d’être présent sur l’ensemble des loisirs et des divertissements numériques. Reste que coté livre, il y a encore beaucoup de travail à faire.
MO3T
Au-delà du barbarisme, c’est le dernier avatar sur lequel travaille Orange. Des informations ont commencé à circuler au cœur de l’été et annoncé par un communiqué de presse par Orange.
Il est question d’un regroupement (France Télécom et SFR, les éditeurs Eden (Gallimard, Flammarion, La Martinière) et Editis, mais également des réseaux de libraires comme la FNAC ou La Procure) afin de créer une cyberlibrairie pour contrer Amazon.
En fait, selon le site Actualitté : "MO3T n'a pas vocation à rivaliser avec Amazon ni Google (…) il faut envisager MO3T comme un immense réservoir dans lequel seront placés des livres numériques achetés par des usagers". Grace au Cloud, il y aurait continuité des usages. Si un service ferme, le livre est toujours disponible.
"MO3T est avant tout un modèle ouvert : son objectif est de permettre à tout lecteur d’acheter un contenu sous n’importe quelle forme, auprès de n’importe quel vendeur (en ligne ou physique), de le lire sur n’importe quel terminal, d’y adosser n’importe quel service et de pouvoir conserver ce contenu dans la durée, dans le respect des droits d’auteur."
Intéressant sur le « papier ». Si cela va au bout, l’offre devrait être la plus complète possible. La mise en service est prévue pour fin 2013.
En conclusion (provisoire)
Pour le livre, le succès dépendra aussi du prix et donc d’un taux de TVA réduit sur le livre numérique et surtout d’une offre abondante et ouverte.
Pour la presse, l’idée d’un forfait est une bonne idée, encore faut-il que le choix soit important et que le kiosque numérique ressemble à un vrai kiosque.
Comme sur la musique avec Deezer et la vidéo avec Dailymotion, Orange est également présent sur le livre. Le but est d’être présent sur l’ensemble des loisirs et des divertissements numériques. Reste que coté livre, il y a encore beaucoup de travail à faire.
Sam 11 Mai 2013 - 8:36
C'est la semaine prochaine que se clôture la publication des résultats du premier trimestre 2013 : SFR, le 14 mai (après bourse), Bouygues Télécom, le 14 mai (après bourse) et Iliad (Free et Alice), le 15 mai (avant bourse).
Orange a déjà publié les siens le 24 avril.
Pour rappel, 9,934 000 clients haut et très haut débit (ADSL + Fibre Optique + Satellite), soit +263 000 sur un an et +41 000 sur le dernier trimestre.
En ce qui concerne la téléphonie mobile, Orange a perdu 361 000 nouveaux clients, soit +85 000 forfaits et –446 000 en prépayés sur le trimestre. Sur un an, c'est un gain de 251 000 nouveaux clients et -151 000 en prépayés. Le total est 26, 829 000 millions de clients, dont 19,789 000 millions avec un forfait et 7,040 000 millions en prépayés.
Sur le trimestre, c'est Open, la Fibre Optique et Sosh Sosh qui tirent la croissance d'Orange.
Quelques prévisions (Crédit Suisse et Morgan Stanley) ont été publiées pour Free. Sur la téléphonie mobile, ce serait un gain entre 746 000 et 800 000 nouveaux clients. L'ARCEP estime à 489 000 le nombre de nouveaux clients sur le trimestre.
Sur le fixe, les mêmes prévisions donnent entre 100 000 et 110 000 nouveaux clients et une perte de 25 000 pour Alice. Sur la base des prévisions d'Orange, le total des recrutements sur le trimestre devrait être de 261 000. Si l'on retranche Orange et Free, il reste environ entre 110 000 et 120 000 clients à se répartir entre Bouygues et SFR.
Alors quels chiffres pour Bouygues Télécom, Iliad (Free et Alice) et SFR ?
Dernière édition par Hammett le Lun 13 Mai 2013 - 7:46, édité 1 fois
Orange a déjà publié les siens le 24 avril.
Pour rappel, 9,934 000 clients haut et très haut débit (ADSL + Fibre Optique + Satellite), soit +263 000 sur un an et +41 000 sur le dernier trimestre.
En ce qui concerne la téléphonie mobile, Orange a perdu 361 000 nouveaux clients, soit +85 000 forfaits et –446 000 en prépayés sur le trimestre. Sur un an, c'est un gain de 251 000 nouveaux clients et -151 000 en prépayés. Le total est 26, 829 000 millions de clients, dont 19,789 000 millions avec un forfait et 7,040 000 millions en prépayés.
Sur le trimestre, c'est Open, la Fibre Optique et Sosh Sosh qui tirent la croissance d'Orange.
Quelques prévisions (Crédit Suisse et Morgan Stanley) ont été publiées pour Free. Sur la téléphonie mobile, ce serait un gain entre 746 000 et 800 000 nouveaux clients. L'ARCEP estime à 489 000 le nombre de nouveaux clients sur le trimestre.
Sur le fixe, les mêmes prévisions donnent entre 100 000 et 110 000 nouveaux clients et une perte de 25 000 pour Alice. Sur la base des prévisions d'Orange, le total des recrutements sur le trimestre devrait être de 261 000. Si l'on retranche Orange et Free, il reste environ entre 110 000 et 120 000 clients à se répartir entre Bouygues et SFR.
Alors quels chiffres pour Bouygues Télécom, Iliad (Free et Alice) et SFR ?
Dernière édition par Hammett le Lun 13 Mai 2013 - 7:46, édité 1 fois
Lun 13 Mai 2013 - 7:42
Ah oui...Quand même !! (N°21)
L'iPad d'Apple rentre doucement dans le rang et a encore perdu un peu de son avance au premier trimestre sur le marché des tablettes informatiques selon des estimations mercredi du cabinet de recherche IDC.
Au total 49,2 millions de tablettes ont été écoulées dans le monde sur les trois premiers mois de 2013, soit un bond de 142,4% comparé à la même période de 2012.
Avec 19,5 millions d’unités vendues sur le trimestre, la part de marché d'Apple est de 39,6% contre 43,6% pour le T4 2012. Les tablettes sous Android ont été vendues à 27,8 millions d’unités soit 56,5% du marché. Les tablettes sous Windows représentent 3,7% du marché.
Derrière Apple, c’est Samsung qui se classe deuxième avec 8,8 millions d’unités vendues soit 17,9% du marché, contre 15,1% pour le T4 2012. En troisième position arrive Asus avec une part de marché de 5,5%. C’est Amazon et son Kindle Fire, qui passe de la troisième à la quatrième place avec 1,8 million de tablettes vendues et 3,7% du marché, contre 11,5% au T4 2012. C’est Microsoft qui est en dernière position du Top 5 avec 900 000 unités vendues soit 1,8% du marché.
Source : Le Figaro (01/05).
L'iPad d'Apple rentre doucement dans le rang et a encore perdu un peu de son avance au premier trimestre sur le marché des tablettes informatiques selon des estimations mercredi du cabinet de recherche IDC.
Au total 49,2 millions de tablettes ont été écoulées dans le monde sur les trois premiers mois de 2013, soit un bond de 142,4% comparé à la même période de 2012.
Avec 19,5 millions d’unités vendues sur le trimestre, la part de marché d'Apple est de 39,6% contre 43,6% pour le T4 2012. Les tablettes sous Android ont été vendues à 27,8 millions d’unités soit 56,5% du marché. Les tablettes sous Windows représentent 3,7% du marché.
Derrière Apple, c’est Samsung qui se classe deuxième avec 8,8 millions d’unités vendues soit 17,9% du marché, contre 15,1% pour le T4 2012. En troisième position arrive Asus avec une part de marché de 5,5%. C’est Amazon et son Kindle Fire, qui passe de la troisième à la quatrième place avec 1,8 million de tablettes vendues et 3,7% du marché, contre 11,5% au T4 2012. C’est Microsoft qui est en dernière position du Top 5 avec 900 000 unités vendues soit 1,8% du marché.
Source : Le Figaro (01/05).
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C’est quasiment fini pour The Phone House et pour ses 1200 salariés. Après avoir perdu son contrat avec Bouygues Télécom et bientôt celui d’Orange, c’est son actionnaire principal, l’américain Best Buy qui se retire d’Europe suite à des difficultés. The Phone house évoque la revente des ses magasins et plusieurs candidats seraient intéressés. Il y aura des suppressions d’emplois.
Pour rappel, Bouygues Telecom a supprimé 542 emplois dans le cadre d'un plan de départs volontaires et SFR a annoncé lui aussi un plan de ce type qui devrait porter sur 1.123 suppressions de postes et 267 créations d’emplois. Chez Orange, d'ici à 2020, près de 30 000 départs à la retraite sont prévus (soit un tiers de l'effectif total) et seul un sur trois sera remplacé. Sur les trois prochaines années, 9 000 départs à la retraite sont prévus, ainsi que 2 000 "autres départs" (démissions, etc.), pour seulement 4 000 recrutements. Et c'est sans compter les effets de l'accord temps partiel des séniors.
Il faudrait également faire le point dan les centres d’appels et chez les équipementiers pour se faire une idée plus précise de la situation du secteur.
A suivre.