28062011
Une fois n’est pas coutume, à défaut de parler d’internet fixe, c’est la 4G, la future norme de « très haut débit » mobile offrant un débit 10 fois supérieur à celui de la 3G+, qui fait l’actu chez Bouygues. En effet, l’opérateur vient de saisir le Conseil d’état afin que ce dernier se prononce sur la légalité du processus d'attribution des licences 4G.
L’opérateur s’inquiète du surcout qu’il estime entre 500 millions à 1,7 milliard d'euros, pour résoudre le problème d’interférences qui existerait entre la télévision numérique terrestre (TNT) et le déploiement du réseau 4G qui toucherait environ 20 % des foyers français.
L’article du projet sur le "paquet télécom", stipule en effet que c'est aux opérateurs qu’incombe la responsabilité des éventuelles interférences, et donc d’en supporter le coût. Bouygues Telecom voudrait que l’état prenne en charge le dispositif anti-brouillage, ou tout au moins que les choses soient clarifiées.
Éric Besson, ministre de l’Industrie, n’a pas tardé à réagir, pour lui les choses sont claires : « les risques de brouillages concernent essentiellement un lot de fréquences 4G sur les quatres lots possibles. Bouygues pourra se porter candidat sur tous les autres lots s'il estime que les risques sont trop importants ».
Il faut dire que la vente des licences 4G devrait rapporter plus de 2,5 milliard d’euros à l’état, l’enjeu est donc de taille.
Le Conseil d’État doit rendre sa décision avant le 14 juillet prochain.
L’opérateur s’inquiète du surcout qu’il estime entre 500 millions à 1,7 milliard d'euros, pour résoudre le problème d’interférences qui existerait entre la télévision numérique terrestre (TNT) et le déploiement du réseau 4G qui toucherait environ 20 % des foyers français.
L’article du projet sur le "paquet télécom", stipule en effet que c'est aux opérateurs qu’incombe la responsabilité des éventuelles interférences, et donc d’en supporter le coût. Bouygues Telecom voudrait que l’état prenne en charge le dispositif anti-brouillage, ou tout au moins que les choses soient clarifiées.
Éric Besson, ministre de l’Industrie, n’a pas tardé à réagir, pour lui les choses sont claires : « les risques de brouillages concernent essentiellement un lot de fréquences 4G sur les quatres lots possibles. Bouygues pourra se porter candidat sur tous les autres lots s'il estime que les risques sont trop importants ».
Il faut dire que la vente des licences 4G devrait rapporter plus de 2,5 milliard d’euros à l’état, l’enjeu est donc de taille.
Le Conseil d’État doit rendre sa décision avant le 14 juillet prochain.
Commentaires
Mer 29 Juin 2011 - 9:14
Le pire c'est le lot qui a les meilleures caractéristiques de propagation et de pénétration (bande des 800Mhz)
D' ou le problème car pour la radio et tele, ont va travailler dans les fréquences basses pour leurs propriétés
D' ou le problème car pour la radio et tele, ont va travailler dans les fréquences basses pour leurs propriétés
Mer 29 Juin 2011 - 11:17
traduction car pas certain que le terme propagation et pénétration soit bien compris:
comme pour la 3G et aussi le GSM, il y a encore quelques années bouygues avait (a encore car certains sont resté sur ses a priori meme si forcément il y a tjrs des trou dans une couverture mais là n'est pas le problème) l'utilisation des fréquences hautes c'est bien dans la rue, mais quand tu rentres au chaud chez maman, ou dire bonjour au patron... la fréquence haute est quasi inutilisable en "INDOOR" mais depuis que bouygues à pu utiliser les fréquences basse sur la voix (je sais plus à partir de quand ça été autorisé puis après il y a un long délais de mise en place) une grosse amélioration à été constaté...
sur la 3G bouygues utilsie que la haute fréquence majoritairement et depuis le début d l'année à eu des autorisations pour les basses seulement là ce pose un soucis c'est qu'en zone dense on peut pas basculer en basse sans couper plusieurs milliers d'utilisateurs dotn leur terminaux ne sotn pas compatible et utilise la 3G "haute" donc la basse est utilisé en premier lieu dans les zones peu dense et viendra renforcer une densification à terme dans les zones denses ou les utilisateurs seront aussi plus compatible avec le changement des terminaux...
donc en gros si 4G en haute fréquence utilisé par un plusieurs opérateur mais n'ayant pas d'autorisation sur la basse les couverture indoor vont etre encore une fois très aléatoire et il est évident que l'opérateur qui aura de la haute et la basse sera l'opérateur qui offrira la meilleurs qualité de couverture...
à suivre en tout cas car ce brouillage qui est un problème selon le regulateur et el gouvernement à la marge semble crisper les acteurs meme si on a pas encore entendu SFR sur le sujet... pour free on sait qu'il trouve la procédure d'attribution trop rapide et trop chère (on peut comprendre ils vont déjà devoir investir massivement sur la 3G et amortir donc c'est plus une dépense supplémentaire pour eux qui vient alourdir la facture)
comme pour la 3G et aussi le GSM, il y a encore quelques années bouygues avait (a encore car certains sont resté sur ses a priori meme si forcément il y a tjrs des trou dans une couverture mais là n'est pas le problème) l'utilisation des fréquences hautes c'est bien dans la rue, mais quand tu rentres au chaud chez maman, ou dire bonjour au patron... la fréquence haute est quasi inutilisable en "INDOOR" mais depuis que bouygues à pu utiliser les fréquences basse sur la voix (je sais plus à partir de quand ça été autorisé puis après il y a un long délais de mise en place) une grosse amélioration à été constaté...
sur la 3G bouygues utilsie que la haute fréquence majoritairement et depuis le début d l'année à eu des autorisations pour les basses seulement là ce pose un soucis c'est qu'en zone dense on peut pas basculer en basse sans couper plusieurs milliers d'utilisateurs dotn leur terminaux ne sotn pas compatible et utilise la 3G "haute" donc la basse est utilisé en premier lieu dans les zones peu dense et viendra renforcer une densification à terme dans les zones denses ou les utilisateurs seront aussi plus compatible avec le changement des terminaux...
donc en gros si 4G en haute fréquence utilisé par un plusieurs opérateur mais n'ayant pas d'autorisation sur la basse les couverture indoor vont etre encore une fois très aléatoire et il est évident que l'opérateur qui aura de la haute et la basse sera l'opérateur qui offrira la meilleurs qualité de couverture...
à suivre en tout cas car ce brouillage qui est un problème selon le regulateur et el gouvernement à la marge semble crisper les acteurs meme si on a pas encore entendu SFR sur le sujet... pour free on sait qu'il trouve la procédure d'attribution trop rapide et trop chère (on peut comprendre ils vont déjà devoir investir massivement sur la 3G et amortir donc c'est plus une dépense supplémentaire pour eux qui vient alourdir la facture)
Mer 29 Juin 2011 - 13:45
a terme on devrait utiliser les frequences de la 2G pour d'autres technos
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
J' espère qu'il sera soldé au moins